La Temple de la renommée du hockey
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Temple de la renommée du hockey - À propos de nous
Notre histoire

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CHRONOLOGIE DU TEMPLE DE LA RENOMMÉE:

1943 Naissance du Temple de la renommée du hockey
1961 Inauguration officielle de notre premier domicile à l’Exposition nationale (CNE)
1993 Le Temple aménage à la Place BCE, maintenant renommée Place Brookfield
1998 Expansion de la Zone du Monde du hockey
2006 Achèvement du plan de revitalisation du millénaire
2009 Dévoilement du Centre de ressources de hockey D.K. (Doc) Seaman
2010 Ouverture de la boutique Spirit of Hockey et de la Zone du Monde du hockey

Fondateurs et chefs de file du Temple de la renommée du hockey

Le tout premier usage de l’expression « Temple de la renommée » survint en 1900 avec la the création du Hall of Fame for Great Americans, faisant partie de la New York University d’origine. Le mouvement visant à créer d’autres temples de la renommée consacrés à diverses disciplines prit de l’ampleur au cours des années 1930.

Le 12 juin 1939, le juge Kenesaw Mountain Landis, commissaire du Baseball des ligues majeures, annonça, « Je déclare que le National Baseball Museum et le Baseball Hall of Fame à Cooperstown, New York, patrie du baseball - sont ouverts! » Quinze mille adeptes de baseball applaudirent furieusement et se bousculèrent pour être parmi les premiers à franchir les portes de cet autel du baseball, nouvellement consacré.

Une si grande occasion fit naître une idée dans l’esprit des gens de hockey: pourquoi n’aurions-nous pas un temple de la renommée semblable pour notre sport?!? L’idée eut des échos, entre autre chez l’ancien grand du hockey « Cyclone » Taylor, qui fut l’un des partisans les plus déterminés de la création d’une telle institution. Les premières allusions à un « mythique Temple de la renommée du hockey » furent publiées en décembre 1940 dans les pages du Montreal Gazette.

Le 17 avril 1941, l'Association canadienne de hockey amateur (CAHA), approuvant une proposition soumise par le capitaine James T. Sutherland, forma un comité de trois hommes chargés d’étudier les origines du jeu du hockey.

Sutherland, habitant Kingston, en Ontario, avait joué au hockey avec l’Athletic Club of Kingston au sein de la première ligue de hockey officiellement reconnue. En 1910, après avoir formé les Frontenacs de Kingston, une équipe junior faisant partie de la Ligue de hockey de l'Ontario (OHL), il fut désigné par la ligue comme représentant de division, et monta dans son hiérarchie pour enfin en devenir le président en 1915, un poste qu’il occupa pendant trois ans. Durant cette même période, le capitaine Sutherland siégeait à titre de président de l'Association canadienne de hockey amateur. Parmi ses nombreuses réalisations on compte l’établissement de la Coupe Memorial, un trophée offert à la mémoire des hommes qui donnèrent leur vie durant la Grande Guerre et emblème du championnat de hockey junior du Canada.

Tout au long de sa vie dans le hockey, le capitaine Sutherland postula que Kingston était le berceau du hockey. « On dit que les historiens ne s’entendent pas du tout sur l’endroit précis où le grand César vit le jour, et il en est ainsi en ce qui concerne le lieu de la naissance du sport d’hiver national du Canada, le hockey, » déclara Sutherland. « Il s’en trouve peut-être d’aucuns qui prétendent toujours qu’un endroit ou un autre soit l’authentique lieu ou localité. Quelle que soit la mesure du mérite réclamé par ces autres endroits, je crois qu’on admet généralement et qu’il a été maintes fois solidement établi par le passé que le véritable lieu de la naissance du hockey organisé est la ville de Kingston, en l’année 1888. »

Même si Sutherland se trompait sur l’année (c’était plutôt 1886), il fondait son allégation sur une partie disputée entre l’Université Queen's et le Collège militaire royal du Canada à la patinoire Dix, dans le port en face des bâtiments municipaux de Kingston.

Au début des années 1940, Sutherland était un important promoteur de la mise sur pied d’un temple de la renommée pour le hockey. The Montreal Gazette rapportait, le 25 avril 1941, qu’un mouvement s’était mis en branle « lancé par Fred Corcoran pour obtenir pour le hockey quelque chose de semblable, comme le baseball et le golf ont dorénavant leur propre temple de la renommée. » En novembre cette année-là, l’idée avait attiré suffisamment d’intérêt pour que Léo Dandurand, propriétaire des Canadiens de Montréal entre 1921 et 1935, et une figure clé du sport à Montréal, aborde l’idée d’un temple de la renommée auprès de la Ligue nationale de hockey.

La naissance du Temple de la renommée du hockey: Le 10 septembre

1943
James T. Sutherland fut souvent
qualifié de « Père du hockey »
.

En grande partie grâce aux arguments convaincants de Sutherland à l’égard de Kingston en tant que berceau du hockey, l’ACHA et la LNH se mirent d’accord pour établir un Temple de la renommée du hockey dans cette ville. Lors d’une réunion tenue le 10 septembre 1943, le maire de Kingston, Stuart Crawford, fut élu au poste de président du Temple de la renommée du hockey, nouvellement établi.

En 1945, lors de la mise au point des plans du financement de la construction d’un bâtiment concret, le Temple de la renommée intronisa ses premiers membres: Dan Bain, Hobey Baker, Dubbie Bowie, Chuck Gardiner, Eddie Gerard Frank McGee, Howie Morenz, Tommy Phillips, Harvey Pulford, Art Ross, Hod Stuart et Georges Vézina furent ajoutés à la catégorie des Joueurs, tandis que Sir Montague Allan et Lord Frederick Stanley furent inclus dans la catégorie des Bâtisseurs.

La construction fut retardée par d’exorbitants coûts de constructions, mais le Temple de la renommée du hockey continua à introniser des membres honorés, mais pas à tous les ans. La volée suivante, celle de 1947, formée de plusieurs joueurs et bâtisseurs, comptait deux des hommes qui avaient fait avancer le rêve d’un temple de la renommée pour le hockey, « Cyclone » Taylor et le capitaine James T. Sutherland.

Le 30 septembre 1955, Sutherland mourut sans avoir vu sa vision se réaliser. Embourbée dans la bureaucratie et en manque de fonds, la construction du Temple de la renommée du hockey à Kingston n’avait pas encore commencé. En 1958, les président de la LNH, Clarence Campbell, en eut assez des délais et retira l’appui de la LNH envers Kingston en tant que site du Temple de la renommée. C’est ainsi que la décision de faire de Toronto le siège permanent du Temple de la renommée du hockey. Le comité organisateur de Kingston fut sidéré par cette nouvelle, mais persévéra dans la quête entreprise par le capitaine Sutherland. En 1965, le Temple de la renommée du hockey ouvrit ses portes à Kingston (il fut plus tard rebaptisé le Temple international de la renommée du hockey).

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Toronto était un site naturel pour le Temple de la renommée du hockey. En fait, il y existait déjà une sorte de prédécesseur. En 1947, Harry Price, le président du comité sportif du Centre de l’Exhibition nationale (CNE), parcourut le Canada pour recueillir des appuis pour la construction d’un musée consacré aux athlètes canadiens et à leurs exploits. Le 24 août 1955, Le Panthéon des sports canadiens tint ses cérémonies d’ouverture dans un immeuble situé sur les terrains du CNE et qui avait autrefois hébergé la Caserne Stanley, qui devait justement son nom à Lord Frederick Stanley, lui qui fit don de la magnifique Coupe Stanley, grand trophée du hockey. Le Panthéon des sports canadiens comptait un Temple national de la renommée du hockey, dont faisaient partie vingt-trois joueurs et dix bâtisseurs, chacun d’eux déjà intronisé par le Temple de la renommée du hockey de Kingston.

Ayant tourné son appui vers Toronto en 1958, et reçu l’appui officiel de l’ACHA cette même année, la LNH honora les quarante-deux joueurs et bâtisseurs qui avaient, jusque là été intronisés au sein du temple sans-abri de Kingston, à l’occasion d’une cérémonie à laquelle furent présents, à trois près, tous les athlètes honorés toujours vivants. Chacun d’eux reçut un parchemin commémoratif soulignant ses accomplissements au sein du hockey et à son égard.

Conn Smythe, ex-entraîneur des Maple Leafs de Toronto et président du comité des propriétaires d’équipes de la LNH, mena la charge visant la construction d’un site pour le Temple de la renommée du hockey. Faisant pression à l’endroit de la LNH et des autres propriétaires, Smythe dénicha les ressources nécessaires au financement d’un nouveau bâtiment sur des terrains obtenus de la Ville de Toronto sur les sites du CNE, et il supervisa personnellement la construction de l’immeuble. Le Temple de la renommée du hockey invita le Panthéon des sports canadiens à partage son espace au sein de cette nouvelle installation située en face du Food Building. Le 1er mai 1961, la construction de l’immeuble fut achevée.

Ouverture officielle de notre première demeure sur le site du Centre de l’exposition nationale : Le 26 août

1961
Le Temple de la renommée, à son emplacement du Centre de l’Exhibition nationale, fut inauguré officiellement par John Diefenbaker en 1961.

Le Temple de la renommée du hockey connut son ouverture officielle le 26 août 1961. Le Premier ministre canadien John Diefenbaker et l’ambassadeur des États-Unis, Livingston T. Merchant, présidèrent à l’inauguration. « Rien n’est plus grand que le hockey pour engendrer l’unité nationale et pour consolider les liens unissant les États-Unis et le Canada, » déclara alors le Premier ministre Diefenbaker.

Le Temple de la renommée du hockey fut très fréquenté tout au long des vingt jours de la durée de l’Expo, mais ne pouvait exiger de frais d’admission durant cette période. Le niveau d’achalandage du reste de l’année ne suffisait pas à couvrir les frais opérationnels de l’entreprise. Au milieu des années 80, le Temple de la renommée du hockey coûtait près de 300 000 $ par année à la LNH, et ses frais d’entretien grimpaient rapidement. Le président de la LNH à l’époque, John Ziegler, prit à sa charge la tâche de lui trouver un nouvel emplacement. « Nous étions d’accord sur le fait que s’il fallait envisager une nouvelle installation de pointe, elle devrait servir de musée mais aussi d’endroit où les amateurs pourraient s’amuser et interagir avec les expositions », se rappelle Ziegler.

Hockey Hall of Fame
Lors de sa première année, le Temple de la renommée du hockey attira plus de 750 000 visiteurs.

Un ancien vice-président de l’arbitrage de la LNH, Scotty Morrison, fut nommé vice- président du développement des projets, dirigeant un comité formé pour proposer des emplacements, secondé par Steve Ryan, le président de NHL Enterprises, Ken Sawyer de la direction financière de la LNH et Norm Green, l’un des propriétaires des Flames de Calgary. Même si plusieurs villes se proposèrent pour avoir l’occasion d’accueillir le Temple de la renommée du hockey, il fut finalement décidé que le Temple demeurerait à Toronto.

L’emplacement au CNE ne suffisant plus à ses besoins, le comité se mit à la recherche d’un nouvel emplacement adéquat, arrêtant son choix sur un édifice vacant mais très impressionnant situé à l’angle des rues Yonge et Front, au cœur du centre-ville de Toronto. « Nous étions convenus que le site offrirait une visibilité et un accès sans parallèle, étant situé à quelques pas de la gare Union, plaque tournante des navetteurs torontois, » dit Ziegler.

En vertu d’une entente avec la Ville de Toronto, le promoteur (Place BCE) avait l’obligation de rendre à l’édifice sa splendeur d’origine et de le rendre disponible à une institution culturelle sans but lucratif. Le Temple de la renommée du hockey était un candidat idéal, et BCE (Bell Canada Enterprises) et le comité d’aménagement du territoire de la Ville de Toronto s’accordèrent à cet effet.

Le magnifique édifice, bâti en 1885 pour abriter le siège social de la Banque de Montréal, prit la place d’une plus petite banque qui avait existé à cet endroit depuis 1845. Conçue par Darling et Curry, les architectes qui venaient d’achever le tout aussi auguste Victoria Hospital for Sick Children sur la rue College, le siège social de la Banque de Montréal était le plus frappant des immeubles bancaires du 19e siècle à Toronto.

Incroyablement, l’édifice fut l’un d’une poignée de bâtiments du secteur à survivre au Grand incendie de Toronto en 1904. Le sinistre, causé, dit-on, par un poêle resté allumé après la journée de travail, le 19 avril 1904, dans les locaux de la manufacture de colliers E. & S. Currie du côté Nord de la rue Wellington près de Bay, rasa la majeure partie du quartier délimité par Yonge à l’Est, par Bay à l’Ouest, par Front au Sud et par Wellington au Nord.

Dès son achèvement en 1885, l’édifice hébergea le siège social de la Banque de Montréal jusqu’en 1949, lorsqu’il fut déménagé à l’angle des rues King et Bay, le site de Yonge et Front demeurant une succursale jusqu’à son éventuelle fermeture en 1982. L’édifice patrimonial demeura généralement inutilisé jusqu’à vers la fin de cette décennie, lorsqu’il fut rénové et inclus dans l’aménagement de la Place Brookfield (anciennement Place BCE). Même si elle semblait destinée à héberger une galerie d’art, l’édifice demeura inactif jusqu’à son obtention par le Temple de la renommée du hockey pour abriter son sanctuaire toujours grandissant de l’excellence au hockey.

Déménagement à la Place BCE, rebaptisée Place Brookfield: Le 18 juin

1993
Presque tous les membres d’honneur vivants étaient de l’ouverture du Temple de la renommée à son nouvel emplacement à la Place BCE, maintenant appelée la Place Brookfield, au centre-ville de Toronto.

Le 18 juin 1993, le Temple de la renommée du hockey ouvrit officiellement les portes de son extraordinaire nouvel emplacement de la Place BCE, devenue la Place Brookfield. L’installation de pointe, rénovée au coût de 27M $, fut la raison principale qui permit au Temple de la renommée du hockey de se démarquer, devenant l’innovateur chef de file parmi les temples du sport. Lors de sa première année d’activité à son nouvel emplacement, plus de 500 000 invités visitèrent le Temple de la renommée, dépassant de loin les 325 000 qu’on avait prévus.

En tant que précurseur dans l’industrie des temples de la renommée sportive, le Temple de la renommée du hockey est parvenu à diversifier ses activités pour y inclure de florissants programmes d’accueil, de commerce de détail, de concession de licences, éducatifs et de rapprochement communautaire.

Une société par actions indépendante sans capital social et un organisme de charité enregistré en vertu de la Loi de l’impôt sur le revenu (Canada), les actifs, l’entreprise et les affaires du Temple de la renommée du hockey (dont la nomination des membres du comité de sélection du Temple de la renommée du hockey) sont administrés par un conseil d’administration formé de 18 membres nommés par les entités suivantes: la Ville de Toronto (3), le comité exécutif du Conseil (5), Hockey Canada (1), la Fédération internationale de hockey sur glace (1), la Ligue Nationale de Hockey (7) et USA Hockey (1).

Agrandissement de la zone World of Hockey: Le 29 juillet

1998
(de gauche à droite) Bill Hay, président et chef de la direction du TRMH, Scotty Morrison, ex-président du TRMH, et René Fasel, président de la Fédération internationale de hockey sur glace, procèdent à l’inauguration de la « World of Hockey Zone »

Par la voie d’une entente d’alliance avec la Fédération internationale de hockey sur glace (FIHG) et d’un apport financier considérable de sa part, le Temple de la renommée du hockey créa la zone « World of Hockey Zone » un aménagement d’une superficie de 1 100 mètre carrés consacré au jeu à l’échelle globale, comprenant les compétitions internationale olympique et dressant le profil de chacun des pays membres de la FIHG.

L’apport initial de la FIHG appuya aussi la délocalisation et l’agrandissement du centre de ressources du TRMH et de ses archives.

La zone World of Hockey a subi depuis 1998 une série d’agrandissements et de rénovations, dont le dévoilement de la nouvelle exposition du tableau d’honneur de la FIHG, qui rend hommage aux plus grands joueurs et administrateurs de partout au monde.

Achèvement du plan de revitalisation: Le 10 mars

2006
The NHL Zone
La Zone LNN représentait l’étape ultime de l’ambitieux plan de revitalisation du Temple de la renommée du hockey.

Conformément à son mandat d’évolution continue et d’ajout d’excitantes nouvelles attractions, le Temple de la renommée du hockey consacra, de 2000 à 2006, 12 M $ à la bonification de ses expositions, dans le cadre de son plan de revitalisation pour le nouveau millénaire. Ainsi, presque chaque centimètre de cette installation de 17 000 mètres carrés, mis à part le grand foyer Verizon et la réplique du vestiaire des Canadiens de Montréal, fut rénové depuis 1998, offrant aux visiteurs une expérience rafraîchie.

Le Temple de la renommée du hockey est un remarquable assortiment d’artéfacts chéris, d’expositions multimédia, de jeux interactifs, une vitrine pour les membres d’honneur du hockey et, bien entendu, la résidence de la Coupe Stanley. Son champ d’influence est international, grâce en partie à un partenariat formé avec la Fédération internationale de hockey sur glace (FIHG), mais surtout en raison de la fulgurante croissance du jeu autours du monde. À l’avenir, le Temple de la renommée du hockey continuera à divertir et à éduquer avec excellence les adeptes de partout à travers le monde.

Dévoilement du Centre de ressources hockey D.K. (Doc) Seaman (Hockey Resource Centre): Le 8 septembre

2009
Bill Hay, président et chef de la direction du Temple de la renommée du hockey, s’adresse à l’auditoire avant la cérémonie d’inauguration.

Le 8 septembre 2009, Bill Hay, président du Temple de la renommée du hockey, dévoila, lors de sa cérémonie d’inauguration, le Centre de ressources hockey D.K. (Doc) Seaman, complexe de pointe à quatre patinoires envisagé par le Lakeshore Lions Club en association avec la ville de Toronto et Maple Leaf Sports & Entertainment Ltd.

Baptisé en l’honneur du regretté Daryl K. (Doc) Seaman, l’un des propriétaires fondateurs des Flames de Calgary, décédé en janvier à l’âge de 86 ans, l’installation de 5 500 mètres carrés est le nouveau domicile des vastes collection d’artéfacts et archives du Temple de la renommée du hockey et servira de point de mire des recherches sur l’histoire du grand jeu du Canada and cultural export. De plus, Hockey Canada occupera une partie des locaux du Temple avec centre de ressources visant à appuyer une programmation de développement local, ainsi qu’offrir des activités de hockey de haut niveau et de hockey sur luge sur les patinoires adjacentes.

Le Centre de ressources hockey D.K. (Doc) Seaman, situé au cœur du tout nouveau complexe sportif à quatre patinoires.

« Nous sommes enchantés d’être un partenaire-clé de ce merveilleux nouveau complexe qui offre l’espace dont nous avions grand besoin pour agrandir et conserver les précieuses collections du musée, » dit Hay. « Je suis particulièrement fier de notre association avec la famille Seaman qui rend possible de rendre hommage à un remarquable Canadien et bienfaiteur du développement du hockey communautaire dans notre pays. »

Financé en partie par des apports de la Seaman Hotchkiss Hockey Foundation, de la Fédération internationale de hockey sur glace, du ministère du Patrimoine canadien et d’un groupe de dix donateurs composant le « HRCA Founders Committee », ce centre de ressources de 4 M $ million représente la plus importante installation de recherche et d’archives au monde consacrée à la collection et à la préservation des ressources documentaires liées à l’histoire du hockey.

Bobby Seaman, fils du regretté Doc Seaman, et les légendaires Maple Leafs Darryl Sittler et Johnny Bower, participent aux cérémonies d’inauguration du Centre de ressources D.K. (Doc) Seaman.

En plus d’offrir chaque année ses services à des milliers de correspondants, aux membres des médias, à des administrateurs, des équipes, des joueurs, des adeptes, des étudiants, des enseignants des musées et des bibliothèques chaque année, il remplit un rôle intégral au sein de la planification et du développement des activités d’exposition, de rapprochement, de collecte de fonds et caritatives du Temple de la renommée du hockey.

« Le nouveau centre de ressources offrira les installations requises pour élargir l’engagement du Temple envers la recherche et l’éducation, ainsi que la mise en œuvre des technologies numériques pour l’archivage, la distribution et les fins promotionnelles, » avance Philip Pritchard, vice-président et conservateur du Temple de la renommée du hockey. « Il nous permettra également d’intégrer nos collections en une seule exploitation satellite visant à mieux servir notre attraction principale, le musée, qui continue à prospérer à Place Brookfield. »

Dévoilement du magasin de détail Spirit of Hockey et
de la zone World of Hockey:
Le 5 novembre 2010

2010
La nouvelle sculpture, « At the Crease » (À la zone des buts)

Le vendredi 5 novembre 2010, le Temple de la renommée du hockey annonça l’ouverture du tout nouveau magasin de détail « Spirit of Hockey » et de la zone « World of Hockey Zone » agrandie.

En outre, les légendaires gardiens Johnny Bower et Billy Smith se joignirent au personnel du Temple de la renommée du hockey pour dévoiler une nouvelle sculpture basée sur le tableau emblématique de Ken Danby, « At The Crease ». La sculpture, plus grande que nature, est exposée en permanence en bas de l’atrium du carré Sam Pollock, à l’entrée du nouveau magasin de détail « Spirit of Hockey ».

Le tout nouveau magasin de détail « Spirit of Hockey »

Le magasin de détail « Spirit of Hockey » est dorénavant située à un endroit nouvellement intégré au niveau de la rue (adjacent à l’édifice bancaire historique du Temple, situé à l’angle de Yonge et Front) et offrira à se clients une expérience de magasinage rehaussée grâce à un aménagement amélioré et un plus grand choix de marchandise, y compris la nouvelle ligne de vêtements Reebok aux couleurs du TRMH.

Occupant environ 1 825 mètres carrés, la zone « World of Hockey Zone » célèbre le jeu du hockey à l’échelle planétaire par la voie de nouveaux secteurs rendant hommage à des légendes internationales, à des membres du Triple Gold Club (ceux qui ont remporté une médaille d’or aux Jeux olympiques, l’or aux Championnats du monde et la Coupe Stanley), les 100 plus grands moments du hockey international (y compris la rondelle décochée par Sidney Crosby pour marquer le but en supplémentaire pour l’or olympique), et bien plus encore.

La zone « World of Hockey », nouvellement agrandie

« Nos invités peuvent explorer une plus vaste gamme d’expositions sur le hockey international hockey ainsi qu’une expérience de magasinage rehaussée, » avança Phil Pritchard, vice-président et conservateur du Temple de la renommée du hockey. « En déménageant la boutique Spirit of Hockey au niveau de la rue et en agrandissant ses locaux, un espace précieux fut libéré dans le hall, et il servira à mieux démontrer la portée mondial du sport au sein de la zone World of Hockey, qui constitue maintenant notre plus vaste secteur d’exposition dédiée. »